L’idée de contribuer à l’épanouissement du Québec est la raison pour laquelle je m’implique dans le monde passionnant de l’innovation. Cette implication est, selon moi, la voie pour assurer une approche incontournable et essentielle à nos ambitions collectives, afin de devenir une plaque tournante dans plusieurs secteurs de pointe de l’innovation, notamment l’aluminium.
Pour ce faire, je suis un ardent défenseur de la nécessaire collaboration qui doit nous animer. À tous les jours, je me demande comment je peux aider les collègues et les partenaires à travailler ensemble de manière positive. En somme, de comprendre que nous devons prioriser les organisations et les gens qui seront les mieux outillés pour faire avancer les chantiers de l’innovation.
L’innovation n’est pas une vue de l’esprit. Elle doit s’inscrire dans une approche globale, idéalement multisectorielle. C’est un exercice qui met à contribution non seulement des chercheurs mais aussi des visionnaires libres et ouverts qui n’hésitent pas à provoquer des échanges pour aller plus loin. Il faut aussi que tout cet écosystème adhère à une vision positive des choses, où nous favoriserons la création de solutions et verrons les enjeux comme des opportunités d’amélioration et non comme des entraves à la création.
Comme le mentionnait Farah Alibay, ingénieure en aérospatiale et figure québécoise de renommée internationale à l’occasion d’une récente entrevue conduite par notre équipe :
« Pour moi l’innovation, c’est une partie essentielle de notre société et cela fait partie de nous, en tant qu’humain. C’est comme ça qu’on avance et que l’on continue à améliorer le monde autour de nous. […] l’innovation, ça vient avec les changements, pour pousser nos connaissances. »
Je salue donc avec enthousiasme la publication de ce répertoire québécois de l’innovation. Il deviendra sans aucun doute une référence incontournable favorisant une prise de contact privilégiée facilitant la recherche et le développement pour tous.